La pointe courte
il y a plus de vingt ans, dans un petit festival à Sète autour d'Agnès Varda, native de la ville j'avais vu son premier film, La pointe courte.
L'intrigue, un couple au bord de la séparation, parce qu'elle ne supporte plus l'habitude, la routine qui efface peu à peu la passion.
Mais surtout presque un documentaire sur ce quartier populaire de pêcheurs de Sète, la Pointe Courte, la vie de famille, les joutes, la pêche, les ruelles, les habitats de bois...
Et tout ce temps j'ai gardé dans un coin de ma mémoire qu'un jour j'irais à la Pointe Courte.
Il y a des choses comme cela que l'on se dit, que l'on aimerait, que l'on réserve... et parfois l'audace, la détermination ou le hasard les font advenir...
Avant hier enfin j'ai donc pour la première fois visité la Pointe Courte, dans une double bonne circonstance.
D'un c'était un jour de "remontée" des daurades (en automne, quand souffle le vent du Nord, les daurades quittent l'étang de Thau où elles viennent se reproduirent et se dirigent vers la Méditerranée. Elles longent la Pointe Courte et empruntent le canal Royal. Sur les quais et sur les ponts, au coude à coude, les pêcheurs attendent le passage du banc de daurades).
De deux, j'étais la pour le boulot (la rencontre d'un groupe de femmes conchylicultrices) et donc je n'avais pas tout à fait le statut de touriste, ce qui, dans des villes comme Sète (où la culture d'antiglobalisation est assez marquée pour faire vite) est un avantage.
Alors voici juste quelques images de la Pointe Courte, plus belle que dans mes souvenirs...
L'intrigue, un couple au bord de la séparation, parce qu'elle ne supporte plus l'habitude, la routine qui efface peu à peu la passion.
Mais surtout presque un documentaire sur ce quartier populaire de pêcheurs de Sète, la Pointe Courte, la vie de famille, les joutes, la pêche, les ruelles, les habitats de bois...
Et tout ce temps j'ai gardé dans un coin de ma mémoire qu'un jour j'irais à la Pointe Courte.
Il y a des choses comme cela que l'on se dit, que l'on aimerait, que l'on réserve... et parfois l'audace, la détermination ou le hasard les font advenir...
Avant hier enfin j'ai donc pour la première fois visité la Pointe Courte, dans une double bonne circonstance.
D'un c'était un jour de "remontée" des daurades (en automne, quand souffle le vent du Nord, les daurades quittent l'étang de Thau où elles viennent se reproduirent et se dirigent vers la Méditerranée. Elles longent la Pointe Courte et empruntent le canal Royal. Sur les quais et sur les ponts, au coude à coude, les pêcheurs attendent le passage du banc de daurades).
De deux, j'étais la pour le boulot (la rencontre d'un groupe de femmes conchylicultrices) et donc je n'avais pas tout à fait le statut de touriste, ce qui, dans des villes comme Sète (où la culture d'antiglobalisation est assez marquée pour faire vite) est un avantage.
Alors voici juste quelques images de la Pointe Courte, plus belle que dans mes souvenirs...